Cette décision ne vient que s’ajouter à un processus antidémocratique depuis le début. Faut-il rappeler la non consultation des organisations syndicales avant l’écriture du texte, les rencontres éclair avec la Ministre du travail, le blocage des votes à l’Assemblée nationale ?
Les salariés sont méprisés, les citoyens bafoués et leurs représentants ignorés.
La CGT condamne ce déni de démocratie et la brutalité affichée par le gouvernement.
Elle poursuivra et amplifiera la mobilisation et appelle tous les salariés à s’inscrire dans le mouvement, se réunir en assemblées générales pour décider ensemble la poursuite de la mobilisation jusqu’au retrait et pour un code du travail
du XXIème siècle.
Plus que jamais, l’urgence est à la mobilisation.